Florence Taveau : le partage des secrets de Rennes-le-Château
Florence Taveau est une chercheuse et écrivaine bien connue de nos lecteurs. Elle a l’habitude de partager avec nous une partie de ses nombreux documents sur les énigmes de Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains ! Voir ci-dessous ! Dans le but d’illustrer et de prouver le bien-fondé de ses recherches, elle nous a guidés vers du concret et du tangible. La synchronicité, sans doute, nous avait emmenés il y a quelques mois dans la même zone sous Rennes-le-Château !
Pour la découverte à laquelle elle nous convie, tout est parti du livre de Jean Brunelin « La Pierre La Croix et le Cercle », éd. Pégase, sd, sp, et sa présentation de haut bas-relief.
Le site de Jean-Pierre Garcia a prolongé le livre de Jean Brunelin et mentionne sur le côté gauche du haut-relief au-dessus du confessionnal : « un petit personnage inversé est caché dans les arbres en haut à droite. » En fait, pour que ce soit compréhensible, vous regardez la partie peinte à gauche des personnages en relief.
Ensuite, au milieu et à droite de cette partie, vous visualisez un feuillage ; enfin, en dessous du feuillage, deux traits bruns se rejoignent vers le bas !
Reprenons au début avec les informations inédites livrées par Florence Taveau :
Le bon berger sculpté sur le haut bas-relief de l’église de Rennes-le-Château est le Christ qui veille sur ses brebis. Tous les saints du lieu ont un rapport avec le pain. Le phénomène des pommes bleues, le 17 janvier, se termine sur l’autel et son tabernacle où tout curé célèbre son eucharistie par le pain et le vin. Cette énigme a donc un rapport avec un trésor religieux et, pourquoi pas, comme elle l’écrit dans son deuxième livre sur Rennes-le-Château avec l’ordre du Temple et Hugues de Payns, son fondateur.
Regardons donc la grande fresque et cherchons le pain visible dans le sac ou bourse aux pieds du Christ. Le pain peut désigner du blé, et le blé l’or en référence aussi à ce souterrain qui contiendrait un trésor et, peut-être, un trésor religieux. Boudet et son langage des oiseaux n’est pas loin ! Pour étayer ses propos, la chercheuse-trouveuse nous livre un témoignage du père de Jean Dalbiès qui, avant de partir à la guerre de 1914, réalisait des croquis à la demande de l’abbé Saunière. Il fallait que le jeune homme de 19 ans à l’époque, filleul de Marie Dénarnaud, se mette dans la cour du château de Rennes-le-Château et, à midi pile, quand le soleil est « à midi pommes bleues » et que ses rayons glissaient sur un rocher en contrebas du château, il dessine… pour trouver l’entrée du souterrain, pense la chercheuse.
Le Christ, bon pasteur, du haut bas-relief, tend les bras. Si nous prolongeons son bras droit, il nous indique un feuillage sur la peinture de gauche. C’est le personnage, la tête en bas. Comme l’indique Jean-Pierre Garcia sur cette page https://www.rennes-le-chateau-archive.com/egl_mm_fresque_4.php : « pantalon noir avec plis, veste noire et jabot blanc, pochette rouge, visage caricatural, menton et nez effilé. Un chapeau noir complète le tout. L’artiste utilisa son pantalon pour le confondre avec deux branches de l’arbuste… »
Florence Taveau continue l’exploitation de cette information. L’agrandissement présenté par Jean-Pierre Garcia nous fait voir deux éléments capitaux : le personnage est identifiable à un berger, désigné par le bon pasteur du haut bas-relief, et le bras du berger désigne une autre partie de la peinture en dessous du château en haut à gauche. Sous le château et en accord avec Jean Brunelin (page 28 de son livre « La Pierre La Croix et Le Cercle »), la chercheuse identifie des souterrains ! Des souterrains sous un château… Un berger qui désigne un souterrain qui provient du château… Pour étayer ses réflexions, Florence Taveau nous révèle que Jean Dalbiès du château de village dont la famille était proche de Bérenger Saunière (Marie Dénarnaud était la marraine de son père) lui a parlé d’un souterrain bouché au bas du village, et ce souterrain y remonterait !!!
Mais où Florence Taveau localise-t-elle les souterrains ? Continuant ses recherches, elle associe le Christ au Bon Berger qui désigne un berger qui désigne des souterrains sous un château ! Ce berger utilise un abri pour ses brebis, une capitelle dans la région. En pérégrination sous les remparts du village, il y a deux ans, elle a découvert une… capitelle peu connue car, à cette époque, noyée dans la végétation. Elle avait heureusement échappé aux travaux de la station d’épuration.
Sur ses indications, nous avons retrouvé il y a quelques jours cette capitelle « restaurée » et dégagée de toute végétation ! Dès lors, la chercheuse établit un lien évident entre le berger de la peinture et la capitelle sous le village ! Nos recherches de 2023 au niveau de l’éboulement voisin (voir la vidéo du reportage) et les constatations du sourcier Luc Ribeyrol sur les souterrains de Rennes-le-Château nous incitent à donner du crédit au raisonnement de Florence Taveau. Sans compter le témoignage d’un protagoniste de l’affaire trop tôt disparu qui, quand il était en confiance, évoquait ses recherches avec un parent du côté de la station d’épuration et de l’éboulement… Ce témoignage a été recueilli par deux membres de la rédaction de la Gazette de Rennes-le-Château.
Enfin, Florence Taveau énonce deux hypothèses sur le trésor du souterrain « bouché » : un trésor religieux soit le trésor d’Aleth de l’évêque de La Cropte de Chantérac caché à la révolution, soit le trésor en rapport avec les templiers présents dans le Razès.
Bérenger Saunière était-il seul ou accompagné ? Nous avons de bonnes raisons de penser que Bérenger Saunière n’a pas agi seul ! Dans son église, on peut se référer à ses peintures, bas et haut-relief. Sur celui utilisé pour cet article, il reste des parties des peintures à interpréter comme le personnage au parapluie, le chapiteau, plusieurs châteaux et villages. Bref, une carte de la région pour (re)trouver ce qu’il a trouvé ou ce qu’on lui a indiqué !
Pour éclairer ses conclusions, Florence Taveau pourrait évoquer un contemporain de Marie Dénarnaud, Jean Bousquet qui a trouvé des documents… jamais publiés et bien plus… ! Mais ceci fera l’objet sans doute d’un prochain article !
Pour conclure, nous reprenons les versets sous le haut bas-relief : « Venez à moi vous tous qui souffrez et qui êtes accablés et je vous soulagerai », fait écrire Bérenger Saunière ! Mais à qui s’adressait-il ?
8 février 2024, Johan Netchacovitch ©
PS : Nous attirons votre attention sur l’interdiction de fouilles sur la commune de Rennes-le-Château et sur le respect de la propriété privée !
Scénario publié aux Editions Edilivre par Florence Taveau – Cazebon
Magazine a interviewé Florence Cazebon – Taveau à la suite des nombreux awards reçus pour son scénario Quand le Mystérieux Prieuré de Sion s’invite à Rennes-le-Château ! Lire la présentation !
Mag Magazine : Merci d’être avec nous ! Parlez-nous de vous.
Florence Cazebon – Tabeau : Je suis une scénariste et artiste plurielle française : écrivaine historique, poétesse, mais aussi peintre et médium internationale à plusieurs vibrations. En tant que médium, je peins exclusivement avec mes doigts.
Dans mon scénario, j’ai combiné le merveilleux avec le spirituel, avec l’action, et un secret qui, ensemble, font un grand et beau film. En 15 ans de recherches historiques, j’ai écrit une dizaine d’ouvrages sur le trésor de l’abbé Saunière (éditions ABM, Edilivre, Éditions ABCD’R). Mon scénario s’enrichit de mon imagination, de ma connaissance de médium et de la vie réelle de Rennes-le-Château qui a une histoire fascinante.
Mag Magazine : De quoi parle votre film ?
Florence Cazebon – Tabeau : Du trésor des templiers de l’abbé Saunière et de l’abbé Boudet de Rennes-le-Château en France avec le Prieuré de Sion, le Graal des Templiers, des médiums (Florence, Manon) et de véritables personnages historiques contre l’ennemi, la Société du Brouillard.
Mag Magazine : Pourquoi avoir choisi cette histoire ?
Florence Cazebon – Tabeau : Le mystérieux Prieuré de Sion a gardé pendant des siècles le plus grand secret de l’histoire de l’humanité – et le fabuleux trésor de Rennes-le-Château en France. L’originalité de mon scénario s’inspire en grande partie de la médiumnité de personnages historiques comme Jules Verne, Victor Hugo, Chopin, George Sand, l’impératrice Sissi d’Autriche, le roi Louis II de Bavière, l’Opus Dei, les templiers de Blanchefort, le Christ et Marie-Madeleine.
L’aspect le plus important dans la construction d’un personnage est le mystère et la spiritualité combinés à l’action sous l’aspect médiumnique. Je veux jouer la médium, Florence dans le film.
Mag Magazine : Si vous deviez refaire ce film, changeriez-vous quelque chose ? Si oui, quoi et pourquoi ?
Florence Cazebon – Tabeau : Rien, je ne changerais rien car mon scénario est densément riche en histoire et a encore une fois un merveilleux potentiel pour être un drame très cinématographique plein de suspense, captivant et intrigant. L’apparente convergence d’intrigues qui s’étendent sur des siècles, l’incorporation du mysticisme et des pouvoirs surnaturels des médiums, et le large éventail de personnages historiques hauts en couleur donnent vie à des sociétés secrètes et à des intrigues meurtrières ou pleines de suspense menées par des artistes célèbres, des chefs religieux et des hommes politiques. Tout cela est convaincant et intemporel, et fera du film une réussite. Je connais intimement cette histoire et ces personnages.
Mag Magazine : Quel est votre prochain film ?
Florence Cazebon – Tabeau : J’ai un projet sur Camille Claudel et Rodin via mon scénario publié aux éditions Edilivre. Sur YouTube, vous pouvez voir le teaser. Je joue Camille Claudel.
Mag Magazine : Quel est votre film favori ?
Florence Cazebon – Tabeau : Les Oiseaux d’Hitchcock.
Mag Magazine : Selon vous, qui est le réalisateur le plus influent ?
Florence Cazebon – Tabeau : Pour citer Hitchcock : « Pour faire un grand film, il faut trois choses : le scénario, le scénario et le scénario. »
Autres articles sur le Prieuré de Sion
Le Prieuré de Sion son histoire, sa légende : lire l’historique !
Qu’en est-il du Prieuré de Sion contemporain : un nouveau Grand Maitre ?
Ulpian s’interroge sur une autre interprétation de S.I.O.N. : “ce terme recouvre le siège (qui a varié selon les époques) où les prêtres catholiques adoraient en secret un autre Dieu que le Christ, à savoir Jean le Baptiste, véritable crucifié de Pilate !”
“Pierre et Papier” le faux livre de Philippe de Cherisey est analysé par la rédaction.
Articles sur d’autres sociétés secrètes
Un relevé des attributs maçonniques de l’église de Rennes-le-Château par Daniel Dugès.
Le secret de Boudet – La piste maçonnique teintée de Rose-Croix par Johannus.
Cartes postales inédites propriété de Florence Taveau
Florence Taveau contacte régulièrement la rédaction de la Gazette de Rennes-le-Château pour partager avec ses lecteurs des documents inédits en lien avec l’abbé Bérenger Saunière, son église, ses nombreux contacts !
Le pech Cardou ou un rébus (?)
Selon la légende de cette carte postale, vous voyez “Rennes-les-Bains – Vue générale et Pic du Cardou”… Manifestement, il ne s’agit pas de ce paysage-là ! Florence Taveau nous avertit que c’est un rébus qu’elle a décrypté ! Et vous ? Quelqu’un connait-il ce lieu ?
Le lieu
Christian-Jacques Attard (FB) : “Pour la vue, il s’agit de La Trimouille dans la Vienne et d’une crue au moulin de La Font !” Info envoyée au même moment à la rédaction de la Gazette de RLC par JG ! Merci à tous les deux ?
L’alchimiste hongrois
Le recto de cette carte postale déchirée, très probablement pour en ôter le timbre, a été envoyée à l’abbé Saunière car elle se trouvait dans sa tour Magdala. Il s’agit de l’illustration d’un conte d’un alchimiste et écrivain allemand contemporain de l’abbé. Dans un de ses livres ci-dessous, Florence Taveau y consacre un chapitre explicatif.
Le verso de cette carte postale est en hongrois et le texte effacé était en allemand ou en hongrois car il faut savoir que, derrière l’illustration, si nous ouvrons les deux couches de la carte postale, nous trouvons le texte du conte écrit en allemand au dos. “Le fou à la ficelle”, surnom d’Alain Féral, avait trouvé dans les têtes des anges du bénitier de l’église de Rennes-le-Château des coupures de journaux écrits en allemand contemporains de l’abbé Saunière, datant de 1898. Un article de “La Dépêche du Midi” du 12 avril 1986 relate cette découverte ! Lire l‘article sur le site de Patrick Mensior ! (Ce bénitier étrange avec l’ambigramme ange et démon du BS pour Boudet Saunière ? – NDLR)
Nous vous rappelons également qu’un lot d’enveloppes pré-imprimées à l’adresse de la banque hongroise Fritz Dörge de Budapest fut retrouvé dans les affaires de l’abbé Saunière. Christian Attard y consacre un article sur son site !
Carte postale de Rennes-les-Bains et assassinat de l’abbé Rescanières
Florence Taveau a envoyé à la Gazette de Rennes-le-Château une carte postale de la grand-rue de Rennes-les-Bains avec les magasins Bousquet !
Au verso, un texte écrit dans la station thermale le 28 aout 191? ! On y évoque la vie de la station et… le décès de l’abbé Rescanières, successeur de l’abbé Boudet si la date est 1915 !
Joseph Marie Casimir Rescanières est né à Carcassonne le 16 avril 1878 et est décédé à Rennes-les-Bains le 1 février 1915. Nommé missionnaire à Notre-Dame de Marceille le 1er aout 1906, il sollicite ensuite un poste plus “reposant”…, et est donc nommé curé-desservant à Rennes-les-Bains le 1er mai 1914 en remplacement de l’abbé Henri Boudet.
Ce décès d’un homme dans la fleur de l’âge (36 ans) a marqué les esprits dans la Haute vallée de l’Aude. Il était de santé fragile. Gérard de Sède a évoqué un empoisonnement comme cause du décès ! (Une partie des infos a été glanée dans “L’ABC de RLC”)
La 14e édition de la Fête des arts
“Samedi 30 et dimanche 31 juillet, avec la 14e édition de la Fête des arts, Montségur va vivre autour des peintures, sculptures… Organisée par l’association Arts Montségur, elle est devenue le rendez-vous incontournable de l’été fait de rencontres avec des artistes locaux pour une large majorité.” Quatorze artistes seront présents dont Joëlle Sommier, René Guitton, Christian Bonnet, Laurent Bergé et Florence Taveau, connue internationalement !
“Cette nouvelle édition n’aura rien à envier aux précédentes en qualité et en prestige…”
Document d’un phénomène inconnu dans le ciel
9 mai 1851 dans la région d’Avignon
Florence Taveau nous a envoyé un document ancien qui date du 9 mai 1851 qu’elle a acquis depuis peu !
Elle s’interroge sur ce phénomène surnaturel ainsi que sur le dessin qui seront insérés dans son futur livre, “Le livre des Merveilles sur le Christ, la Vierge, Dieu et des visions du Paradis”. Ce livre est en cours de rédaction !
Ci-dessous, vous le voyez avec sa légende ! Les caractères en transparence de la moitié supérieure du document sont lisibles au verso, à visualiser également dans cet article !
Pistes d’interprétation : Astronomique, Atmosphérique, OVNI, Apparition
C’est donc un document inconnu que Florence Taveau nous livre !
Dans ses explications (ci-dessous), elle indique que le document provient du fond d’archives de l’érudit & grand collectionneur du XIXe siècle Frédéric-Marie-Sosthène DE CENTENIER (1822 – 1907), né à Pernes-les-Fontaines à 25 km d’Avignon. Elle livre aussi des éléments biographiques concernant le père de Frédéric.
Ensuite elle nous donne les décryptages possibles :
Certains y verront un ovni ! Il faut savoir que le pape fit instruire une enquête de mars à septembre 1851 concernant l’apparition mariale de Notre-Dame de la Salette faite à deux petits bergers en 1846.
21 avril 2022, Florence Taveau & Johan Netchacovitch ©
Dons de Florence Taveau au musée Bérenger Saunière de Rennes-le-Château
Cet automne 2021, Florence Taveau a offert à vie au musée de l’abbé Saunière de Rennes-le-Château divers objets :
- la photo originale de la tour Magdala qui a servi de modèle ensuite à la collection des cartes postales
- le chapelet de l’abbé Saunière
- le gros médaillon portrait du christ qui appartenait à Marie Dénarnaud après la mort de l’abbé Saunière
- une carte postale écrite à l’abbé Saunière par son ami épicier de Lille montrant la crypte de l’église de Lille
- le tampon du mariage des témoins de la marquise de Hautpoul de Blanchefort
- une carte postale qui était dans la tour Magdala écrite par une religieuse et envoyée à l’abbé Saunière
- de petites médailles de la vierge Notre-Dame de Marceille à Limoux qui appartenaient à la très croyante Marie Dénarnaud.
Elle les a donnés gratuitement pour que le religieux revienne un peu à l’abbé Saunière et qu’il y ait autre chose que des photocopies et autres documents sans lien historique avec Bérenger Saunière… !
21 avril 2022, Johan Netchacovitch ©
Le mystérieux Prieuré de Sion s’invite chez Florence Taveau
A l’automne 2021, Florence Taveau tournera en tant qu’actrice et coréalisatrice une vidéo court-métrage adaptée librement de son scénario publié chez Edilivre il y a 5 ans : “Quand le mystérieux Prieuré de Sion s’invite à Rennes-le-Château“. Elle y jouera le rôle d’une médium, écrivain et poétesse, membre du Prieuré de Sion.
Elle tournera avec son ami, le célèbre peintre marseillais Raymond Mustacchi, à Marseille dans son hôtel particulier qui a appartenu à l’ami de Victor Hugo, Michel Pacha. Les enfants de Victor Hugo et le grand compositeur de musique Saint-Saëns sont venus lui rendre visite dans cet hôtel.
Ce court-métrage mettra à l’honneur le mystérieux Prieuré de Sion, le trésor de l’abbé Saunière de RLC et son ami Raymond Mustacchi qui incarnera Victor Hugo.
Trois abbés pour un secret avec des révélations inédites de Florence Taveau
Addendum du 2 décembre 2020 : Couvent ? Espion ? Avocat ? Empereur ?
Florence Taveau nous a autorisé à mettre en ligne un autre document – à voir ci-dessous – de son livre : quels sont les liens entre un couvent, un avocat qui a défendu Bérenger Saunière lors de ses démêlés avec l’évêché de Carcassonne, un chef du contre-espionnage et un empereur ?
Un huitième ouvrage en guise de bouquet final
“Le 8e ouvrage de Florence Taveau sur Rennes-le-Château renferme des révélations inédites et des documents extraordinaires avec diverses photos de découvertes archéologiques !”
Ainsi commence la présentation de ce livre historique ! Alléchant, n’est-ce pas ?
Et cela continue : “Enfin la seule et unique vérité sur cette énigme ! Une fois que vous aurez visité cet ouvrage, vous cernerez pour toujours le mystère des abbés Boudet, Saunière et Lamilhau !”
Les trois abbés… Boudet, Saunière et… Lamilhau ! Tiens, tiens, qui est-il ce dernier abbé ? Lamilhau…
La conclusion : “Le Razès n’aura plus de secret pour vous…”
Nous avons déjà écrit (lire ci-dessous) tout le bien que nous pensions des recherches de Florence Taveau et de ses ouvrages historiques sur le mystère audois ! Nous avons pu constater qu’elle a accès à des documents inédits. Dès lors, quand elle nous annonce qu’elle dévoile le lieu privilégié que les abbés Boudet et Saunière appréciaient – serait-il situé sur la carte de la vraie langue celtique ? -, que Plantard possédait une carte au trésor dévoilée dans son ouvrage, etc., nous ne pouvons que souscrire à ses propos et vous conseiller d’acheter son livre “Trois abbés pour un secret avec des révélations inédites et des découvertes archéologiques sur le trésor de Rennes-le-Château” en cliquant ICI pour commander !
Dans les prochains jours, nous mettrons en ligne quelques documents et d’autres informations qui prouvent ce qui est écrit ci-dessus !
Extrait – début du livre pour mieux comprendre la photo avec l’abbé Lamilhau !
“Je regarde cette petite photo en noir et blanc de Gérard de Sède que je détiens un peu comme un bijou, unique et inédite.
Il est pris en train de labourer son champ avec son béret sur la tête. Lui, le grand journaliste de cette énigme de Rennes le Château.
Je lui demande alors avec l’aide du ciel de me donner la force d’écrire ce huitième livre historique sur Rennes Le Château, bouquet final de mes investigations !
Un peu aussi comme un devoir, livre lourd de vérités à transmettre aux générations futures sur le secret des trois abbés Boudet Saunière et Lamilhau.
L’abbé Lamilhau arrière-arrière grand oncle d’un de mes cousins audois Patrice, éloigné en généalogie mais proche du coeur et de nos ancêtres communs d’Embres et Castelmaure notamment de par Françoise de Pompadour de la grande lignée des de Pompadour et de mon aïeule Anne-Catherine de Volontat : la grand-mère paternelle de ma grand-mère audoise tant chérie !
Cet hiver, à table, Patrice tu me révèles en toute simplicité que l’abbé Lamilhau [Voir les illustrations ci-dessus NDLR] aurait reçu de l’abbé Saunière une somme d’argent importante pour son pensionnat saint Joseph. Etonnée que tu me dises cela d’un ton nonchalant, je veux en savoir plus et j’apprends de ta bouche que l’abbé Lamilhau a fondé une institution de jeunes filles, le pensionnat Saint Joseph de Saint-Denis dans l’Aude bien situé dans les montagnes noires et dont l’air pur donnait à toutes ces jeunes filles un regain de santé.
Ton arrière grand-mère Rose qui avait pour oncle cet abbé Lamilhau racontait qu’elle même s’avérait pensionnaire de cet établissement et qu’elle n’appréciait pas trop certaines de ces pensionnaires nobles très guindées car d’origine autrichienne ou du pays d’Aragon snobant parfois les élèves comme elle de milieu audois plus modeste.
D’autres membres de la famille me confiaient qu’Alfred Saunière frère de l’abbé Saunière de Rennes le château avait adressé une lettre à l’abbé Lamilhau concernant ce don de l’abbé Saunière pour son pensionnat à Saint denis mais qu’ils en avaient perdu aujourd’hui toute trace d’où ma déception.
Or depuis j’acquis par un travail de recherches bien des photographies anciennes du pensionnat Saint Joseph et plusieurs documents rares relatant la vie de l’abbé Lamilhau.
Déjà je vous livre la lettre du curé de Saint Denis lors de l’enterrement de l’abbé Lamilhau.
« Monsieur l’abbé Hugues Lamilhau né à Alzonne à la maison Auradou le 2 décembre 1821, baptisé le même jour par Jean Joseph Triat vicaire.
Il avait pour père Victor Lamilhau et pour mère Elizabeth Auradou surnommée Jeanne de l’Empereur.
Tiens en lisant ce passage, je m’étonne de ce surnom : pourquoi Jeanne de l’empereur ? Puisque nous sommes dans une famille de viticulteur
audois.
Continuons.
Grâce à des personnes dévouées et généreuses (lesquelles ? Ce n’est pas mentionné) Hugues est envoyé comme interne au collège royal de Montolieu qui jouit d’une certaine renommée à cause de ses nombreux élèves et de la formation qu’il dispense. Ses études terminées, Hugues est admis au grand séminaire.
Le 17 juin 1848 en la fête de la sainte trinité, Monseigneur de Bonnechose évêque de Carcassonne l’ordonne prêtre.
C’est à Alzonne que l’abbé Lamilhau a la joie de célébrer sa première messe. La même année il est nommé vicaire à Saissac et le voilà l’objet de la plus grande estime. Là il voit à l’oeuvre les frères des Ecoles chrétiennes et les filles de la charité.
Son rêve fut de diriger un pensionnat avec l’aide de religieuses dirigeant l’instruction et l’éducation de jeunes filles.
C’est en 1851 que l’autorité diocésaine le nomme vicaire à Saint Denis sur Aude, plus tard vicaire – régent et enfin curé, il y restera jusqu’à sa mort en 1913.
Ainsi dans un site unique il bâtit pierre par pierre la belle institution de jeunes filles.
Son rêve se réalise le 25 octobre 1854, trois religieuses du Tarn arrivent à Saint Denis et assurent la direction du nouveau pensionnat. La dévotion à la Sainte Vierge est immense.
La haute statue de la Vierge portée sur son socle élevé qui se dresse fièrement face aux Pyrénées est érigée par ses soins. »
À la lecture de ces mots, je pensais à l’abbé Saunière de Rennes Le château qui avait élevé lui aussi une statue de la Vierge de Lourdes sur son socle dans le jardin de son église avec le pilier carolingien de l’autel inversé.
A l’âge de 92 ans, il se rend tout seul à Lourdes et à peine de retour à Saint Denis il remet sa belle âme à Dieu le 28 novembre 1913 à une heure de l’après-midi après 66 années de son sacerdoce et la 63ème année de son ministère à Saint Denis.” (Florence Taveau ©)
A SUIVRE dans les prochains jours, voire semaines (je vous expliquerai pourquoi ensuite).
Florence Taveau, une trouveuse de documents, artiste multiforme et médium
Florence Taveau est connue des amoureux du mystère de Rennes-le-Château par ses nombreux livres truffés de documents ! Nous avons marqué en gras les livres avec des documents utiles à la recherche…
C’est une artiste peintre au mérite international reconnu notamment par Francesco Saverio, conservateur mondial, et par les critiques d’art Paolo Levi et José Dali, médium, écrivaine historique, poétesse, romancière, scénariste de longs métrages de fiction, membre de la fondation Taylor, membre de l’Académie du mérite artistique et dévouement français.
Elle se présente dans la vidéo ci-dessous :
Florence Taveau et les mystères des deux Rennes
L’écrivaine et chercheuse a publié huit livres sur les mystères des abbés Saunière et Boudet y insérant de nombreux documents ! Le neuvième paraitra dans un mois…
La Rose des Vents
En 2009, son premier livre “La Rose des Vents” transmet un message spirituel, dialogue reçu par télépathie entre Jésus et Marie-Madeleine. L’auteure a-t-elle été missionnée de faire découvrir le secret de Rennes-le-Château, les rôles de Bérenger Saunière, Emma Calvé, Hugues de Payns, du Prieuré de Sion ?
Le Graal ou le Trésor de Rennes-le-Château de Florence Taveau
Avril 2013 !
“Les abbés Henri Boudet et Bérenger Saunière ont découvert le graal tant recherché durant des siècles. Ils ont exprimé dans un voile pudique et transcendé ce graal autant par le cryptage de l’ouvrage : « La vraie langue celtique » que la décoration de l’église de Rennes-le-Château et divers tableaux célèbres. Si, pour certains chercheurs, ce trésor reste une énigme inclassable, celle-ci m’est devenue transparente de par le cheminement de ma propre réflexion mais, également, de par ma médiumnité et les diverses confidences de témoins clés dans cette affaire.
Découverte personnelle également de certains vestiges archéologiques. Le trésor de Rennes-le-Château va porter la voix des templiers de Laval Dieu et des cathares de Montségur loin dans le chuchotement du mystère audacieux de l’abbaye de Lagrasse et des volutes de la prophétie d’Enoch sur la résurrection. En somme : le GRAAL ! Ce Graal que Boudet annonce aussi de par la prophétie à peine dévoilée de MELKISEDECK. Le V ou Vase, Graal qu’une terre affectionnée par Boudet et Saunière en porte l’empreinte dans le cœur de ses entrailles.” (Florence Taveau)
Une étrange église nous fait découvrir le Graal à Tréhorenteuc, en forêt de Brocéliande, l’abbé Gillard et Auguste Coudray servent de fil conducteur à notre reporter, Héméac.
Florence Taveau a envoyé à la rédaction un texte de présentation :
“Mes données ont avancé par rapport aux articles de journaux de 2011 (lire ci-dessous). J’ai trouvé et fait dater cette année un élément de sarcophage entre le 5e et le 8e siècle d’après la photo expertisée par un archéologue d’Aquitaine ; de surcroit, un certain musée réputé en France a daté ma brique en argile du 7-8e siècle. Elle a été retrouvée aussi sur les lieux. Toutes mes données relèvent des décodages du livre de Boudet « La vraie Langue celtique » et de la grande fresque de l’abbé Saunière au sein de son église de Rennes-le-Château.
Je ne veux point situer précisément le lieu à cause des chercheurs sans scrupule. Nous avons eu à 300 mètres de là 17 sarcophages trouvés dans les années 1930 d’après un ancien.
Le code de Boudet nous révèle les reliques du trésor de l’abbaye de Lagrasse (graal ou coupe avec patène en émeraudes, couverture de livre avec 135 pierres précieuses…, mais aussi les parchemins détenus par la marquise de Roquefeuil d‘Ables).
J’ai identifié aussi le petit berger sur le côté latéral gauche de la grande fresque. Il est contemporain de Saunière et très expérimenté dans les recherches archéologiques. Ce n’est pas Louis Fédié. Tout le côté latéral droit de la grande fresque est la description d’un des chapitres de la VLC ligne par ligne.
A vous lecteurs de parcourir mon ouvrage pour trouver le nom de cet homme qui est à la base même du code que l’on retrouve dans un des chapitres de la VLC ! On aurait trouvé également un lieu, grâce aux confidences de Marie Dénarnaud, que je retrouve dans le code Boudet dans sa VLC !
Midi-Libre : “En 2008, on se souvient qu’elle avait publié un roman : “La Rose des vents”, suite à un coup de colère provoqué par le livre de Dan Brown avec le personnage de Jacques Saunière Da Vinci Code : “Contrairement à ce qu’il affirme, Marie-Madeleine n’a jamais été la maîtresse du Christ !”, lançait-elle alors.
Mais aujourd’hui, le mystère du trésor prend une nouvelle tournure : “L’un des codes laissés par Boudet, et que j’ai pu déchiffrer, me permet d’établir des corrélations avec la grande fresque de l’église de Rennes peinte par l’abbé Saunière et sur laquelle on aperçoit une pierre de meule (300 kg) qui existe réellement puisqu’elle se trouve au bord de la Salz, à Couiza”.
Selon ses observations effectuées sur le terrain, cette pierre se situe dans “l’alignement de la tombe celtique d’un archidruide, tombe qui est peinte également sur la fresque, comme la pierre de meule. Et à côté de la tombe, Saunière a peint un coffre ce qui, bien sûr, a provoqué en moi un déclic. S’il l’a peint, c’est qu’il existe, lui aussi !”.
Soit, mais que pourrait-il contenir ? Le fameux trésor ? Se référant toujours à la fresque, Mme Taveau pense plutôt à des documents relatifs à la résurrection du Christ : “Saunière a dessiné un lièvre qui, on le sait, symbolise la résurrection du Christ”. Troublant…
Mais le lieu même où repose la pierre de meule semble appuyer le propos : des monuments religieux y sont érigés en forme de croix située dans un cercle, une figure qui symbolise la victoire du christianisme sur le paganisme.
Ce triomphe spirituel, les abbés Saunière et Boudet y font eux-mêmes allusion dans divers écrits. Doit-on pour autant en conclure que le fameux trésor serait d’ordre uniquement spirituel ? Florence Taveau nuance : “Cela n’exclut en rien la présence d’un trésor monétaire. Il faut savoir que Boudet fait allusion, dans son livre, à des écrits datant d’une période antérieure au concile de Nicée, liés aux Patriarches de la Genèse et dont le message se résume à ceci : on peut se passer des trois religions. Mais les patriarches annoncent aussi la venue du Christ. Or ces écrits ont été ramenés de Terre Sainte jusqu’à Rennes par les Templiers. Et ces moines-soldats possédaient un trésor matériel”.
Conférence
“Ce vendredi 16 aout 2013, Florence Taveau a présenté son nouveau livre “Le Graal ou le Trésor de Rennnes-le-Château”à “La Reine du Château” !
Après avoir visité Rennes-le-Château, lu le livre de l’abbé Boudet, grâce à Jean Bousquet qui l’a mise sur la voie, Florence Taveau a décrypté “La vraie langue celtique et le cromleck de Rennes-les-Bains”.
Elle trouve divers objets archéologiques datés par les archéologues du préceltisme et du celtisme. Elle situe ce lieu dans les alentours de Couiza.
Elle prétend que Boudet était en relation avec les Habsbourg grâce à des témoignages d’anciens qu’elle ne dévoilera pas. Le secret de Saunière est trouvé…, reste les écrits cathares et les secrets templiers.
Novembre 2015, le conte, “L’éveillée : Ou les trois petites lumières d’orient en terre d’Atlantide et de Rhedae”, continue d’explorer les visions médiumniques. L’auteur part à la rencontre de l’Atlantide et du secret de Rennes-le-Château. Dans sa quête, elle sera guidée par Marie-Madeleine, les sages du Tibet et par quelques êtres venus d’un autre monde.” (JN)
Découverte d’un tombeau à Rennes-le-Château
De quel tombeau s’agirait-il ? Celui de Roland de Roncevaux ? de Jésus ? de Marie Madeleine ? d’un roi wisigoth ? du grand monarque ?
“Dans ce livre paru en novembre 2015, Florence Cazebon – Taveau nous plonge au coeur l’énigme de Rennes-le-Château. Centrée autour de la figure de l’abbé Saunière et de sa découverte supposée d’un trésor à la fin du XIXe siècle, celle-ci a fait couler beaucoup d’encre depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Ainsi, à partir de considérations portant sur l’épitaphe de Marie de Nègre d’Ables, maîtresse des lieux avant la Révolution, l’auteure nous propose une enquête passionnante, rien de moins que liée à l’histoire de l’humanité.
Ne ménageant aucune piste, elle nous invite à suivre toutes les sinuosités de sa recherche, celle de la vérité que recèle ce mystère, en croisant à volonté tout un faisceau d’indices. Décryptant notamment le livre au code secret de l’abbé Boudet, La Vraie Langue celtique, tout en s’appuyant sur des documents historiques inédits et sur ses propres visions médiumniques, elle nous permet d’appréhender la légende dans toute sa profondeur historique allant de la Kabbale aux Templiers, des sociétés secrètes du début du XXe siècle à la mythique Atlantide.” (CP)
Mise en Lumière sur le Mystère des Abbés Boudet et Saunière
Juin 2016 : “Enfin la révélation du secret de Rennes-le-Château qui, par l’apport de nouveaux éléments historiques sous la forme de documents uniques, vous amène sur la voie de la Rose-Croix alchimiste.
Mais aussi à sainte Imelda (nom de baptême : Madeleine) du monastère de Sainte-Marie-Madeleine, à l’origine en 1891 de la confrérie de monseigneur Billard Carcassonne par le mystère de la sainte eucharistie donc du saint Graal !” (Edilivre)
L’Extraordinaire Secret des abbés Boudet et Saunière
“Le secret des abbés Boudet et Saunière est enfin dévoilé grâce à des documents inédits et rares, restés jusqu’ici dans l’ombre. Ainsi, à la lecture de ces derniers, se lève le voile sur le mystère de Rennes-les-Bains, et sur une citation attribuée au Père Vannier : « L’abbé Boudet détient un secret qui pourrait bouleverser l’Humanité ! »” (Edilivre)
Rennes-le-Château, le trésor et le secret des deux abbés
Aout 2017 : “Quinzième ouvrage publié de Florence Cazebon – Taveau mais surtout son sixième essai historique sur Rennes-le-Château. Le mystère s’éclaircit par de nouveaux documents inédits et rares à propos du secret des abbés Boudet et Saunière à la source même d’un certain savoir templier.” (Edilivre)
Au cœur du trésor de Rennes-le-Château de Florence Taveau
“Le présent ouvrage révèle l’histoire du trésor de Rennes-le-Château à travers la présentation de scoops et de nouveaux documents rares et inédits détenus par l’abbé Saunière mais également par son complice l’abbé Boudet de Rennes-les-Bains. Un livre extraordinaire, tout simplement.” (Edilivre)
Signalons également que Florence Taveau est parfois présente à Rennes-le-Château et, notamment, le 17 janvier pour le phénomène dit des pommes bleues avec la Gazette RLC.
Le nouveau triomphe de Camille Claudel par Florence Taveau
Le projet de Florence Taveau
Court-métrage réalisé par Benjamin Burghartz sur colortrip : Camille Claudel à Marseille.
Roman et scénario long métrage de fiction, tous deux publiés aux Editions Edilivre par Florence Taveau, “Le nouveau triomphe de Camille Claudel”.
Camille Claudel lors de son internement à l’asile est prise sous la protection d’un des soignants qui tombe fou amoureux d’elle. Ce nouvel amour lui permet de se restructurer et de renaître à la vie ! A sa sortie de l’asile, plus mûre, elle canalise ses émotions et, de par son immense talent, dépasse largement Rodin ! Ses créations à présent enchantent autant les critiques d’art que son public. Rodin, jaloux à la fois de son succès et de son nouvel amant, essaie en vain de la reconquérir.
Tournages prochains à Marseille et Paris.
Collecte de fonds
Objectif minimum: 10 000 € qui nous permettront de financer d’autres séquences du long métrage fiction.
Si cet objectif est atteint :
– Palier 2 : 30 000 € qui nous permettront de financer d’autres parties du film.
– Palier 3 : 50 000 € qui nous permettront de financer le film.
Qui sont-ils ?
Florence Cazebon – Taveau, scénariste du film (long métrage de fiction ) et actrice dans le rôle de Camille Claudel, coréalise le film.
Raymond Mustacchi, grand peintre international, joue le rôle de Rodin !
L’ami de Paul Claudel : Thierry Gairouard producteur et distributeur de musique de jazz.
Sarah Gairaouard : le modèle.
Benjamin Burghartz : le réalisateur.
Vous pouvez soutenir ce projet de Florence Taveau
- En faisant un don en ligne par carte bleue sur cette page après inscription sur le site Dartagnans
- En effectuant un virement bancaire (à partir de 999 euros) après inscription sur le site Dartagnans
- Pour les donateurs français seulement, en envoyant un chèque au dos duquel vous ferez figurer votre adresse e-mail, libellé à l’ordre suivant “Florence Cazebon”, expédié à l’adresse suivante : Dartagnans Campagne Long métrage Camille Claudel, 15 rue de Milan, 75009 PARIS.
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