Les Prieurés de SION, lieux de culte !

Les autres prieurés de S.I.O.N.

Le Prieuré de S.IO.N est un lieu de prières (culte)

Les prieurés de SION : J’ai montré dans un précédent document que l’idée colportée par Pierre Plantard selon laquelle le « Prieuré de Sion » était une société secrète constituant le noyau dur de l’Ordre du Temple est erronée, et que ce terme recouvre le siège (qui a varié selon les époques) où les prêtres catholiques adoraient en secret un autre Dieu que le Christ, à savoir Jean le Baptiste, véritable crucifié de Pilate !

Ainsi, un Prieuré de S.IO.N est un lieu de prières (culte) où l’on célèbre Sanctus Iohannès N. qui est Saint Jean le Baptiste. Bien entendu, je me base sur l’écriture des « Nomina Sacra » qui dispose que IesuS (en latin) peut s’écrire avec la première et la dernière lettre (IS), de même que Iohannès (Jean) peut s’écrire avec la première et la deuxième (IO) lettre du mot.

La résurrection d'Emile Signol à Saint Sulpice de Paris avec la signature comportant un "N" inversé
La résurrection d’Emile Signol à Saint Sulpice de Paris avec sa signature comportant un “N” inversé – Johan Netchacovitch ©

Quant à la signification de la lettre N qui est le symbole du Nombre d’Or (N=1,618) ou Divine Mesure qui est une « Escriture D.M. », le peintre Emile SIGNOL s’en est chargé en signant les 4 tableaux qu’il a peint à l’église Saint Sulpice, tantôt avec un N tantôt avec un N inversé selon une disposition bien particulière.

Prieuré de Sion : Signature d'Emile Signol avec un n inversé
Signature d’Emile Signol – Johan Netchacovitch ©

Le plus ancien Prieuré de S.IO.N

Ce fut très probablement la cathédrale d’ALE/TH la cité de Dieu qui est l’ALEph et le THav, minuscule village qui devint Evêché en 1318 et reçut la visite d’un Pape, après la chute de l’Ordre du Temple et sa dissolution en 1312.

Aleth abrita en effet, à plusieurs reprises, les reliques du Sauveur Jean le Baptiste, d’abord à Saint Salvayre qui fut le MontSalvat du Conte du Graal jusqu’à la reddition de Montségur en 1244, puis depuis la chute de l’Ordre du Temple (1307) jusqu’à la mort de Nicolas PavilloN en 1677. Après la mort de l’abbé Saunière en 1917, les reliques abritées à Serres retournèrent à Aleth où elles demeurent.

La cathédrale dont il ne reste que des ruines grandioses fut dévastée en 1577 par les religionnaires (Huguenots) pendant les guerres de religion, et jamais reconstruite.

L’église Saint André dont je montre une façade (ci-dessous) suggère discrètement qu’elle est un Prieuré de Sion par la présence de sceaux de Salomon, ce qui est paradoxal pour un lieu de culte chrétien.

De plus, la présence d’un crucifix où figure un I.R.N.I. (l’inversion du I.N.R.I. est une affirmation contradictoire) découvert par Jean-Patrick Pourtal et précieusement conservé, prouve son appartenance à l’Hérésie.

I.N.R.I. = Iesus Nazorenus Rex Iudeorum = Jésus le Nazoréen Roi des Juifs.
I.R.N.I. = Iohannes Rex Negationis Iesus ? Le Christ est Jean et non pas Jésus ?

L’église de Saint Sulpice à Paris, un des prieurés de SION

Cette église fut bâtie à partir de 1645 à la demande de l’abbé Olier et sa construction dura 130 ans.

Outre les 4 tableaux du peintre SIGNOL (Prix de Rome 1830) peints entre 1872 et 1879 qui se trouvent dans le transept, le tableau dénommé CRUCIFIXION comporte un TITULUS inversé de la plus grande importance que j’ai décodé dans une vidéo qui révèle que le Christ n’a pas été crucifié !

Le triptyque terminé par Delacroix en 1861 (deux ans avant sa mort et qui le laissa épuisé), que l’on peut admirer dans la chapelle des Anges contient le Secret de l’un des principaux trésors du Razès (Nature et localisation).

Les deux vitraux situés derrière l’autel et ornés de deux S et P entrelacés ne désignent pas Saint Pierre et Saint Paul mais le « Prieuré de S.IO.N. »

Lire la suite ci-dessous avec la basilique de Notre-Dame de Marceille, l’église Saint Michel d’Espéraza

10 septembre 2020, UlpiaN ©

L’église de Rennes-le-Château, Prieurés de S.I.O.N. ?

Un des Prieurés de SION

Prieurés de SION : Le Dieu que les prêtres de la Société du Cromleck adoraient secrètement était Jean le Baptiste et non le Christ !

J’ai montré dans la vidéo LE SECRET DES TITULUS ET DES N INVERSES que le Christ (Nazoréen) n’a pas été crucifié. J’ai également montré que, selon Léonard de Vinci, le crucifié serait Jean le Baptiste et que les Templiers vouaient un culte au Baptiste sous le nom de Baphomet. (You Tube : Ulpian-theory)

Le peintre Signol (St Sulpice) a dévoilé en signant par N et N inversé, que N inversé désignait le Christ (Arrestation et Résurrection) et que le N désignait le Baptiste (Crucifixion et Ascension).

J’ai également montré que la Nouvelle Jérusalem citée dans APOCALYPSE n’est pas une cité mythique mais une cité « numérique » située dans le Razès, que l’on peut tracer sur une carte.

Enfin, j’ai expliqué qu’une fois ramenées dans le Razès (après la première croisade), les reliques de Jean le Baptiste, d’abord sous la garde des Cathares, puis des Templiers après la chute de Montségur, ont été renommées comme étant le tombeau de Christian Rosenkreutz pour échapper à la traque de l’Inquisition.

L’abbé Bérenger Saunière est arrivé dans sa cure le 22 mai 1885 et a trouvé une église très délabrée. Lors de ses premiers travaux de restauration, il a fait construire un nouvel autel ; l’ancien autel se trouvait sur le côté, à moitié soutenu par une saillie dans le mur et deux piliers, dont un seul était sculpté.

J’affirme que, contrairement à l’opinion générale, l’abbé Saunière n’a pas fait graver sur le pilier qu’il retourna, l’inscription que l’on peut lire aujourd’hui devant le porche, MISSION 1891 !

J’affirme que depuis l’abbé Bigou (DCD 1791) et probablement avant, ce pilier qui soutenait l’autel (donc la Foi) était déjà sculpté d’une inscription sous forme de rébus, qui était la suivante :

168
NO IS SI

  • 168 renvoyant au Benedictus de St Luc (1.68) mis en évidence à Notre Dame de Marceille, qui indique que le Sauveur (Jésus 1.69) est le Baptiste (et le rédempteur 1.77) – Confer Codex Bezae.
  • IS désignant le Sauveur (IesouS) Barabbas
  • Et SI son RIVAL et opposé le Baptiste.
  • Saunière retourna le pilier et rajouta M devant IS SION
  • Puis rajouta 1 (1000) devant 891 obtenant 1891
    Ainsi, par le M (Ecriture D.M. dont il résolut le secret) on aboutit à IS de SION…

M IS SION

En association avec d’autres prêtres du Cromleck, il découvrit dans le cimetière de Serres le cercueil de plomb du crucifié Jean le Baptiste, emplacement qui est montré dans la carte du Graal publiée dans la Vraie Langue Celtique de l’abbé Boudet parue en 1886.

Partie de la carte originale de La Vraie Langue Celtique avec le point devant Rialsés signature du Prieuré de Sion
Partie de la carte originale de La Vraie Langue Celtique avec le . devant Rialsés ! – Johan Netchacovitch ©

Dieu étant désigné par un point dans un cercle, il faut rechercher un point dans le Cromleck. Ce point est à l’emplacement du cimetière de Serres entre la Nationale et la rivière. Ces informations sont à la page 246 de la VLC, référence à Jean le Baptiste dont la fête est le 24.6.

L’abbé Saunière attendit 1891 pour accomplir sa MISSION qui était d’ouvrir le tombeau du Baptiste (qui est Christian ROSENKREUTZ) ainsi que cela doit être fait tous les 108 ans, d’où « MISSION 1999 ».

Dans l’église de RLC, l’enfant Jésus qui est dans les bras de son père « Joseph » est le fils du père (= Bar abba = Barabbas) désigné par le cartouche du bénitier (BS pour BarabbaS) portant la couleur rouge du manteau des rois et le cercle jaune de la couronne d’or, comme étant le Christ. Le Christ étant imparfait (buveur et fréquentant des personnes impures, péagers et prostituées), Saunière l’a souligné de la lettre A (Alpha) et le Baptiste d’un Ω (Omega) qui désigne l’accomplissement (Comme le N du nombre d’or signifie la perfection).

Le Baptiste dont l’OMEGA est placé devant l’Alpha sur le pilier carolingien retourné est secrètement mis en valeur à sa juste place devant l’entrée de l’église.

Toujours à l’extérieur de l’église, l’abbé Saunière (et ses commanditaires) ont représenté une église parallèle et invisible, découverte par Alain Féral ; ainsi le calvaire qui représente le crucifié (Jean le Baptiste) est le pendant de l’autel, et la tour de verre (opposée de la tour de pierre qui représente l’Eglise de Pierre) représente le Baptiste qui est la lumière (Codex Bezae, Luc 1.79 « Pour apparaître lumière »). En résumé, l’Eglise d’AMOR opposée à celle de ROMA, la PAIX opposée à l’Epée…

Lire et voir la suite des prieurés de SION ci-dessous :

UlpiaN, le 4 septembre 2020 ©

A suivre avec d’autres Prieurés de S.I.O.N. …

Liens indispensables :

Le Prieuré de Sion son histoire, sa légende à lire ICI !

Le prieuré de Sion de Marco Rigamonti.

La pseudo-révélation de Philippe de Cherisey avec son soi-disant “Pierre et Papier” à découvrir ICI !

La biographie de Pierre Plantard de Geneviève Beduneau à apprécier ICI !

Florence Cazebon-Taveau, écrivaine et scénariste, nous présente son scénario : Quand le mystérieux prieuré de Sion s’invite à Rennes le Château ! Elle a réalisé une présentation vidéo.


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