La Vraie Langue Celtique : pierre du trou, références et chiffre neuf

La pierre du trou de Boudet

Dans la Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains, Boudet parle dans son chapitre 7 paragraphe 4 à la page 255 de la Pierre de Trou ou Hache Celtique ! Après le chiffre neuf, la pierre du trou !

Il signale que la pierre polie ou hache celtique est appelée en dialecte languedocien pierre de trou car elle représente ce qu’il faut croire.

Cette pierre est présente dans les maisons pour protéger de la foudre ou des problèmes.

La pierre du trou après le chiffre neuf de l'abbé Henri Boudet de Rennes-les-Bains

Il cite Louis Figuier qui dans l’Homme Primitif parle de découverte de pierres polies à Pressigny en Indre et Loire où un docteur local trouva un endroit important de fabrication de silex.

Or il existe bien proche à Draché (37) une Pierre trouée qui est un menhir comme celui de Peyrolles avec un gros trou.

La pierre percée de Draché sans le chiffre neuf
La pierre percée de Draché

Par ailleurs la Pierre trouée ou Hagstone en anglais se retrouve partout en Europe dans les traditions magiques – elle est censée éloigner les mauvais esprits, les malédictions – la sorcellerie italienne l’associe, elle, aux fées – elle est comme un talisman primitif.

La pierre du trou sorcier
La pierre du trou sorcier

Plus loin, pages 260 et 261, Boudet explique que ces pierres étaient souvent mises en offrande sur les tombes celtiques et qu’elles représentaient une forme de croyance en l’immortalité.

Or dans la tradition hébraïque, pour signaler que l’on pense à un défunt, on lui dépose des pierres sur sa tombe : reste du culte des Bétyles ou culte des pierres de l’ancien testament.

Mais alors pourquoi évoquer ces pierres de trou… auxquelles Boudet nous demande de croire ?

Au départ, la station de Rennes-les-Bains avait pour nom « Ecclesia Sancti Nazarii de Aquis Calidis » car c’était une station romaine réputée pour ses eaux chaudes pour le traitement de la peau et des rhumatismes.

Une des 5 sources d’eau chaude fut appelée Bain de la Reine et donna son nom finalement à la station après que Blanche de Bourbon (1339-1361), seconde fille de Pierre 1er de Bourbon et d’Isabelle de Valois, femme de Pierre 1er de Castille dit le Cruel, atteinte de la lèpre, l’eut fréquentée dit la légende.

Les thermes antiques à Rennes-les-Bains
Les anciens thermes à Rennes-les-Bains

Pourquoi ? Car elle avait été reléguée par son mari suite à sa maladie au château proche de Peyrepertuse.

Or Peyrepertuse en occitan, c’est la Pierre Percée…

Situé au-dessus de la commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse, le château était considéré au Moyen Age comme un des 5 fils de Carcassonne avec Quéribus, Puylaurens, Termes et Aguilar – il fut un des hauts lieux du catharisme.

Le château de Peyrepertuse
Le château de Peyrepertuse

Situé dans le Perapertuses, il appartenait au Comté du Razès dés le 9e siècle

Le premier château date de l’an 806 – d’abord propriété du roi d’Aragon, il devient ensuite français, et le roi Saint Louis (Louis IX ) le fait renforcer en 1242 en construisant une autre partie qui lui donne alors cette forme de navire de 100 mètres de long et 30 de large.

En tant que forteresse royale, elle marque ainsi la frontière avec l’Aragon mais, en 1659, avec le traité des Pyrénées qui intègre le Roussillon, son rôle s’amenuise avec le décalage de la ligne de partage des deux royaumes. Vendue comme bien national en 1820, la forteresse devint un temps un lieu de garnison.

A-t-elle aussi servi au 19e de coffre-fort pour certains curés de Rennes ? ou bien referme-t-elle un secret lié aux cathares qui, comme les Celtes, croyaient eux aussi en l’immortalité ?

Il ne faut pas jeter la pierre à Boudet qui jusque dans sa tombe nous incite à la trouver en la signalant dans son livre.

1er mars 2021, Johannus ©


Les références de la VLC

En cette période de confinement, je passe mon temps à relire les livres de ma bibliothèque concernant l’affaire de Rennes-le-Château.

Je suis tombé sur le livre assez rare de P. Bren et A.Regne « L’occultisme de la Vraie langue celtique dévoilé et les endroits secrets du cromleck de Rennes-les-Bains », tapuscrit édité le 1er semestre 1989 (n° 0906) par Supexam Montpellier.

J’ai été attiré par la mise en garde du début où l’auteur signale que « Preuves à l’appui Boudet emprunte les 90% de son ouvrage chez les érudits de l’époque… » Plus loin, « ces 90% ne sont que l’ossature destinée à nous guider vers la vérité… » Pour conclure, « Reste les 10 % que Boudet a écrit. Est-ce que tout est camouflé dans cette partie ? Je ne le pense pas non plus. Ces 10 % servent à enchainer, à coller, à souder, à donner un sens à l’ensemble de son livre… »

Ayant sous la main la version de Belfond 1978 en reprint du livre de Boudet, j’ai voulu voir si cela était vrai et j’ai donc repris page pas page les différentes références que l’on retrouve dans les observations préliminaires et les huit chapitres du livre.

Je n’en ferai ici que la synthèse chacun pouvant refaire la liste de celles-ci.

Tout d’abord il faut différencier les pures références (R) en fin de page notées par Boudet et puis, celles citées dans le texte (T). Nous rentrerons ensuite dans le détail.

RécapitulatifTexteRéférenceTotal
Observations préliminaires101
Chapitre 1 : Langue Celtique21113
Chapitre 2 : Langue Hébraïque54449
Chapitre 3 : Langue Punique729
Chapitre 4 : Famille de Japhet41014
Chapitre 5 : Langue Celtique91423
Chapitre 6 : Les Volkes…4711
Chapitre 7 : Cromleck de…61723
Chapitre 8 : Village Celtique…358

Soit 41 références dans le texte et 110 références pour le bas de pages avec un total de 151 pour 306 pages et 4 de préliminaires, donc 310 pages.

Certaines références ne concernent qu’un seul mot (ex p 10 François Bopp), d’autres telles celles de Louis Figuier s’étalent sur une ou plusieurs pages (p 257 et suivantes), les plus longues citations sont entre parenthèses, mais d’autres plus courtes sont intégrées dans le texte.

Deux permettent de dater la rédaction finale de l’ouvrage ou de sa relecture avant publication et impression en 1886 : p. 11 The Advocate journal de Melbourne Australie du 5 sept. 1885 et p. 119 Journal l’Eclair du 7 juin 1885 !

On trouve deux catégories de références : celles prises à des ouvrages et celles prises à des auteurs ou personnages.

Avant-propos de la Vraie langue celtique d'Henri Boudet
Original VLC – Johan Netchacovitch ©

Les ouvrages

Les deux principaux sont le De Bello Gallico de Jules César et les textes religieux de la Bible de Carrières (précisé par Boudet p 38).

18 fois pour De Bello Gallico de Jules César p. 6, 13, 22, 152, 153, 155, 171, 173, 181, 184, 188, 190, 207, 249, 251, 264, 294, 303

30 fois pour la Génèse p. 23, 30, 32, 35, 35, 35, 38, 39, 42, 43, 44, 46, 48, 49, 52, 53, 55, 57, 58, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 66, 67, 68, 111

1 fois pour le 3e Livre des Rois p. 41

5 fois pour l’Exode p. 69, 71, 72, 74, 76

1 fois pour le Deutéronome p. 76

2 fois pour le 1er Livre des Rois p. 78, 81

1 fois pour Matthieu p. 79

1 fois pour les Scories de fer p. 240

1 fois pour le Psaume 144 p. 246

1 fois pour Note sur la Voie sacrée de Notre Dame de Marceille p. 277

1 fois pour Note sur Castelnaudary p. 297

1 fois pour le Magasin Pittoresque p. 300

Les personnages cités

3 fois Joseph de Maistre Les Soirées de St Pétersbourg p. II, 42, 253

6 fois Henri Martin Histoire de France p. 3, 5, 25, 165, 175, 185

1 fois Sir William Jones fondateur de la Société Asiatique de Calcutta p. 9

1 fois François Bopp Grammaire comparée des langues européennes p. 10

1 fois The Advocate Melbourne Australie 5 septembre 1885

2 fois M A Chevallet Origine et formation de la langue française p. 12, 178

1 fois William O Farell Grammaire Anglaise p. 18

1 fois Cornelius a Lapide p. 31

3 fois Josèphe historien antique p. 32, 61, 107

1 fois Cuvier p. 50

1 fois Géographie de Maltebrun p. 51

5 fois Strabon p. 61, 169, 175, 225, 282 avec Pomponius Mella

1 fois Tacite p. 62

2 fois Le Vicomte de Chateaubriand Itinéraire de Paris à Jérusalem p. 62, 158

1 fois Hérodote p. 84

4 fois Pline p. 84, 170, 283, 284

6 fois Sallustre Bella Jugurtha p. 86, 89, 90, 95, 103, 291

1 fois Daubenton Cuvier p. 83

1 fois Cornelius Nepos p. 93

1 fois Ptolémée p. 109

1 fois le Journal l’Eclair du 7 juin 1885

9 fois Louis Figuier L’Homme Primitif p. 128, 129, 130, 135, 161, 162, 190, 257, 261

1 fois Guide Français Basque de ML Fabre p. 138

5 fois G de Catel Mémoire de l’Histoire du Languedoc p. 142, 187, 196, 198, 281

2 fois Dom Martin Savant Bénédictin Histoire des Gaules p. 143, 180

3 fois Abbé Montlezun Histoire de la Gascogne p. 145, 146, 284

1 fois le Gonidec p. 151

1 fois Charles Lentheric Les Villes Mortes du Golfe du Lion p. 175

3 fois Em. Lefranc Histoire de France p. 176, 182, 284

1 fois les Historiens p. 199

1 fois Hyacinthe Langlois Dictionnaire de Géographie p. 214

2 fois Note sur Mr Cailhol Alet p. 234, 241

1 fois Mr Leguay p. 263

1 fois Dion Chrysostôme p. 266

1 fois Emile Souvestre Les derniers Bretons p. 284

1 fois Augustin Thierry p. 285

1 fois Decandolle Botaniste p. 286

1 fois Jacques de Fouilloux p. 299

1 fois Fr Noel Dictionnaire de la Fable p. 301

1 fois Sergius Paulus Proconsul p. 305

J’espère avoir tout répertorié convenablement avec les bonnes références mais on s’aperçoit effectivement que Boudet avait une culture très développée pour faire référence à tous ces ouvrages et à tous ces personnages si on exclut la Bible qu’il devait bien connaitre suite à ses études au séminaire.

Pourquoi vouloir à ce prix justifier ses thèses en particulier sur la langue Basque et le Cromleck de Rennes-les-Bains en enrobant son propos dans un flot de citations ?

Plusieurs façons d’écrire Cromleck

p. 163 réf à Louis Figuier L’Homme Primitif parle de Cromlechs

p. 166 réf à Henri Martin Histoire de France écrit Cromleckh

p. 167 Boudet opte pour le terme de Cromleck en se justifiant avec Crum Mie de Pain et Like Aimer Miche de Pain. Il garde ce terme pour le titre et les chapitres de son livre.

Dans le dictionnaire officiel, on a Cromlech : Crom + Lech Enceinte de Pierre.

Alors a-t-on un code derrière : H = 8 ou VIII K = 11 ou XI ?

Nous vous conseillons la lecture de l’étude sur Le titre secret de La vraie langue celtique et le cromlech de Rennes-les-Bains de Annick Martin-Grassi. (NDLR)

L’anglais chez Boudet

Pour conclure, je constate après cette étude que Boudet a effectivement utilisé plus de 80 % de son livre à utiliser des références pour appuyer ses thèses. Si on regarde sa table des matières, on constate que la graphie des lettres n’est pas la même pour les chapitres de 1 à 5 et ceux de 6 à 8. A-t-on deux livres en un ? Par ailleurs pourquoi donner 2 fois le même titre à un chapitre avec Langue Celtique au chapitre 1 et chapitre 5 ?

Jusqu’à Henri VIII, la langue officielle en Angleterre était le français ce qui explique que beaucoup de mots viennent du vieux français tel Bougette pour Budget, ou Chancelier de l’Echiquier pour le Ministre des Finances. Il suffit de relire les textes originaux de Shakespeare.

Boudet avait fait des études d’anglais ce qui était rare pour l’époque. Cela ne pouvait lui servir dans sa vie de curé à part pour parler avec quelques touristes étrangers à Rennes-les-Bains. En fait pour lui, l’Anglais était l’angle de l’Europe, le triangle dans le ciel avec le Cygne sur Londres, c’est à mon sens ce qu’il voulait montrer.

Lire à ce propos La piste maçonnique teintée de Rose-Croix ou l’étude approfondie de Daniel Dugès sur l’église de Rennes-le-Château maçonnique ! (NDLR)

13 janvier 2021, Johannus ©


Un Œil Neuf ou le chiffre neuf

Les chercheurs sur Rennes-le-Château connaissent désormais le livre de Henri Boudet « La Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains » de 1886 ! Un regard neuf sur le chiffre neuf !

J’utilise pour cette étude l’édition de 1978 de chez Belfond et l’analyse faite de la tombe de Boudet à Axat et en particulier son petit livre fermé posé avec la mention IXOIE.

Tombe de l'abbé Henri Boudet, auteur de la VLC et de son frère, Edmond, à Axat avec le chiffre neuf
Tombe de l’abbé Henri Boudet et de son frère, Edmond, à Axat (DR)

Du neuf ou le chiffre 9

Il est étonnant en effet que le livre de Boudet comporte une pagination de 310 pages comprenant la table des matières, et beaucoup d’études ont voulu voir une référence au IX posé derrière le 310 si on le retourne à l’endroit.

Or, on peut lire aussi directement IX OIE : le chiffre 9 et OIE ce qui fait penser en premier lieu au jeu de l’Oie, jeu de 63 cases (9×7) où l’on retrouve plusieurs Oies (14) toutes les 5 et 9 cases.

Mais le mot OIE lu verticalement forme comme une Clef soit 9 Clé.

Le chiffre neuf du Jeu de l'oie comme dans la Vraie Langue Celtique de Boudet

Le chiffre neuf dans la VLC

Or, on peut trouver ce chiffre 9 dans de multiples endroits chez Henri Boudet dans son œuvre :

*Tout d’abord il n’y a que 8 chapitres dans le livre – le 9e serait donc la Carte mise à la fin !

*Page 310 dans le haut de la table des matières est indiqué le sous-chapitre III du Chapitre 7 consacré au Cromleck de Rennes-les-Bains – ce sous-chapitre parle des sacrifices humains dans la Gaule p.24. Il manque un chiffre à la page 249 – on a donc un 9 caché !

* le Chapitre 7 est le seul à avoir 9 sous-chapitres et le IX est sur la page 310 et correspond au Gui Sacré. Boudet y parle des Druides et de la cueillette du gui « au gui l’an neuf » encore 9 signalé. Il parle de Gui sacré et de chanson. Or, nous avons un Gui d’Arezzo lié à la musique sacrée : moine italien né en 982 et mort en 1032, il est resté célèbre pour sa notation musicale qui a donné le nom aux notes de musique à partir d’un Hymne des Vêpres à Saint Jean Baptiste :

UT queant laxis REsonare fibris MIra gestorum FAmuli tuorum SOLve polluti I(L)Abri reatus Sancte Iohanus. Ce sont les notes latines qui pour les celtiques, les anglo-saxons, sont C (DO ou UT) D (RE) E (MI) F( FA) G (SOL) A(LA) B(S+I).

Le chiffre neuf de la notation musicale de Gui d'Arezzo
Notation musicale de Gui d’Arezzo

*Le Chapitre 7 est le seul à se terminer par un cul de lampe en forme de carré (p 288).Or, j’ai déjà signalé dans ma précédente étude sur la VLC qu’il y avait un lien entre la table des matières et la recherche par Boudet d’un édifice ancien, un temple caché, tel celui de Balbuc de François Rabelais…En effet, chapitre 1, on a 5 sous-chapitres, chapitre 2, 6 sous-chapitres, chapitre 3, 3 sous-chapitres, chapitre 4, 5 sous-chapitres, chapitre 5, 3 sous-chapitres, chapitre 6, 6 sous-chapitres, chapitre 7, 9 sous-chapitres, chapitre 8, 4 sous-chapitres… Il suffit de lister les nombres des sous-chapitres soit 5, 6, 3, 5, 3, 6, 9, 4, soit en lettres E, F, C, E, C, F, I, D ! On a donc le I qui est la 9e lettre de l’alphabet. Pour avoir un 2e I et pouvoir écrire EDIFICE, il faut relier un C et un F. Or, le chapitre 5 est le 2e à porter le nom de Langue Celtique : il faut donc le lier au chapitre 6 consacré aux Volques Tectosages ce qui fait 3 + 6 = 9 = 2e lettre I !

Le chiffre neuf de la Pierre droite des Pontils
Pierre droite, comme un I, des Pontils – Johan Netchacovitch ©

* Au chapitre 7 page 309 (encore le chiffre neuf) de la table des matières, la référence de la pagination du sous-chapitre 1 p 224 est décalée d’une ligne ce qui attire l’œil et incite à le lire…. Or p 227, Boudet signale que l’entrée du Cromleck (avec un K) se trouve au confluent du Rialsés avec la Sals ce qui fait un grand T sur la carte et nous rappelle le UT de Gui D’Azezzo. Boudet parle de Menir (sans le H) et d’Aiguille sans signaler le seul Menhir droit de la région, la pierre de Peyrolles élevée près de Serres qui se dresse tel un I, un 9 ? Au Gui l’an neuf… On peut alors tirer une ligne de ce I en passant par le U(T) qui aboutit sur l’église de Rennes-le-Château. On a un I, on a un U. Pour avoir le GUI, il faut trouver le G. Cela rappelle dans le ciel les signes du Bélier, du Taureau, des Gémeaux ! Reportons donc vers Rennes-le-Château la distance de l’entrée du Cromleck de Boudet au point I (pierre levée de Peyrolles) pour trouver le lieu du G, l’oiseau qui parle.

Cromlech pédagogique d'Eben Emael en Belgique et le chiffre neuf
Cromlech pédagogique d’Eben Emael en Belgique

*Boudet décrit son grand Cromleck et son petit Cromleck autour du point central du Cercle ce qui évoque les 3 cercles celtiques Abred (le Monde Visible), Keugant (le Monde Invisble) et Gwenved (le Monde Blanc). Le fait de mettre un K (11e lettre) en fin de Cromleck pourrait justifier le XI, mais le 9 se retrouve aussi avec le centre car les vrais cromlechs (cercle de pierres), Crom-lech, avaient un menhir central levé tel un I un 9 un IX encore. Or, ici, le cercle est un O car c’est une fontaine !

*Boudet, enfin, fait référence dans son livre et sur sa tombe à l’Ecclésiaste. Or, Ecc 1 vs 9 est écrit « Ce qui a été, c’est ce qui sera ; ce qui advient, c’est ce qui adviendra, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. »

En fait, il n’y a rien de neuf dans ce chiffre neuf !

8 décembre 2020, Johannus ©


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