Le code Arsène Lupin – Maurice Leblanc et le savoir perdu par Arphaÿs

Tipeee

Interview de l’auteur, Arphays

Gazette de Rennes-le-Château : Bonjour Arphays ! La Gazette de Rennes-le-Château vous remercie d’accepter de répondre à cette interview à la suite de la réédition de votre livre « Le code Arsène Lupin – Maurice Leblanc et le savoir perdu », Editions de l’Opportun, ce 12 septembre 2023 ! Pouvez-vous vous présenter à nos internautes ?

Arphays : Je suis né en 1966 à Bar-le-Duc. En 1976, je croise un érudit franc-maçon, la voie initiatique débute. Autodidacte pur, je passe 30 ans auprès d’adolescents comme éducateur. Durant ce temps, je rédige plusieurs articles pour la revue Atlantis fondée en 1926 par Paul Le Cour. Mon chemin croise Jean Phaure. Celui-ci me fait découvrir de nombreux auteurs : Jean Richer, Jean Tourniac, Henri Blanquart, Séverin Batfroi, Guy Béatrice entre autres.

J’écris également des ouvrages parus aux Éditions Lacour-Ollé (Nîmes). Notamment « Le Grand Monarque et le Souverain Pontife. Chronique de la Fin des Temps », Édition 2018. Un roman autobiographique et initiatique en deux tomes « Les Émeraldistes » a également été édité à compte d’auteur. J’écris aussi des articles pour la revue Liber Mirabilis depuis deux années.

Découverte de Maurice Leblanc

Gazette de Rennes-le-Château : Quand et comment avez-vous découvert l’œuvre de Maurice Leblanc ?

Arphays : Comme je l’ai écrit aux liminaires de mon ouvrage, j’ai découvert l’œuvre de Maurice Leblanc sur les rayonnages du bibliobus qui passait jadis en campagne.  Un autre temps, n’est-ce pas ? Un temps où l’on devait attendre, espérant que ceux passés précédemment n’aient pas eu l’idée d’emprunter, eux aussi, les quelques romans de Maurice Leblanc.  

« Le code Arsène Lupin - Maurice Leblanc et le savoir perdu »
« Le code Arsène Lupin – Maurice Leblanc et le savoir perdu »
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Gazette de Rennes-le-Château : Pourquoi avoir consacré un livre à Maurice Leblanc ?

Arphays : C’est incontestable la lecture de l’ouvrage de Patrick Ferté qui a été déterminante. Plus jeune, j’avais déjà trouvé quelque chose de transcendant dans l’œuvre de Maurice Leblanc, mais je n’avais pas su déterminer ce dont il ressortait. Patrick Ferté n’a fait que renforcer cette impression et a donné lieu, par la suite, à l’écriture de cet essai.

Gazette de Rennes-le-Château : Pour mieux comprendre votre étude, donnez-nous des exemples de(s) code(s) utilisé(s) par Maurice Leblanc qui a eu un digne émule en la personne de Dan Brown avec son code Da Vinci.

Arphays : Le code est ce qui permet de crypter, d’occulter. Je vais prendre ici pour exemple le lieu de naissance que donne Maurice Leblanc à son héros. Si l’auteur est né à Rouen et qu’il migre à Paris pour sa carrière, c’est à Blois qu’il fait naitre son héros. Pourquoi ? Tout simplement parce que Maurice Leblanc connait toute la portée symbolique de cette ville. J’ai donc cherché dans la Tradition. Ça a donc été une longue série de lecture pour décortiquer le symbolisme de cette ville, notamment celui du blason, dont René Guénon disait : “On appelle Blois “la ville aux loups”. Bleiz ou Beleiz était en effet le nom celtique du loup, symbole de Belen, “l’Apollon gaulois”. En fait, on se rend compte que la cité est solaire, mais aussi lunaire puisque le loup a plutôt une activité nocturne ! De son côté, Jean Robin précise que les armes de cette ville (loup et porc-épic soutenant le Lys) évoquent l’idée du « Roy perdu », du « Grand Monarque » et note l’abus de cet archétype dans les salons du 19e siècle.

On ne doit pas non oublier que le « Grand Monarque » souvent nommé le « Roi de Blois » par Nostradamus (lui aussi affilié d’un cénacle et sûrement un agent de la maison d’ALB). C’est ce roi caché, ce roi perdu qui relèvera la Tiare Pontificale. Ce même « Roi de Blois » est aussi appelé le « Grand Chyren » que certains érudits ont traduit par « Henri ». En fait, le terme Chyren (Saint Chrême ?) serait plutôt en lien avec l’onction traditionnelle qui consacre les monarques.

Faisant naître son héros à Blois, le nommant Arsène LUPIN = ULPIAN (Nom donné dans Centurie VIII. Quatrain 66 = 528. Or ce nombre est celui de la clef), Maurice Leblanc faisait-il de son héros le « Roi caché », c’est une question qui reste posé mais qui est envisageable. En fait, il est possible aussi qu’au travers des termes « Grand Monarque », « Roi de Blois », « Grand Chyren », « Henri », nous trouvions, selon Nostradamus, une allusion à la branche du duc Henri de Guise qui fut assassiné au château de Blois.

Puis il y a également Paul le Cour (1871) et René Guénon (1886), tous deux natifs de cette ville. Pour ma part, je pense que si Maurice Leblanc y fait naître Arsène Lupin, c’est qu’il a une volonté délibérée de projeter la lumière sur ces deux auteurs, très engagés l’un et l’autre, souvent en lutte, à tort à mon sens, et donc Paul Le Cour, grand défenseur de la Tradition occidentale, s’opposera à René Guénon qui lui, avait pris fait et cause pour Tradition orientale. Je termine ici sur une notion, récurrente chez Leblanc, celle de la notion de double ou de gémellité.

Gazette de Rennes-le-Château : Vous donnez l’exemple d’un mouvement royaliste méconnu, L’Oeillet blanc, créé en 1895, qui est toujours actif de nos jours ! Avez-vous pu y trouver des liens avec Maurice Leblanc ou d’autres auteurs ?

Arphays : En effet, l’organe est toujours actif aujourd’hui mais sa fonction se limite à l’organisation de la commémoration et à l’organisation de la messe du 21 janvier. En réalité non, je n’ai pas depuis cherché de liens plus probants que celui de l’œillet blanc porté par le héros Arsène Lupin dont le père spirituel était un radical socialiste. Si l’on voulait creuser, ce qui n’est plus d’actualité pour moi, on pourrait lorgner par exemple du côté d’Henry de la Vaulx (membre du cercle l’œillet blanc) qui était un vernien par excellence et qui, comble du hasard, devait coécrire certains romans avec Arnould Galopin, créateur de Ténébras, avatar de Fantômas. Galopin, dont le nom laisse songeur, créera même pour trois aventures un personnage nommé Edgar Pipe. Or il s’agit là en fait d’un Arsène Lupin occulté ! Nous avons en fait à faire à un vaste corpus, sorte de wouivre littéraire et politico-hermétique, et les interactions sont telles, qu’il faudrait des pans entiers de page pour parvenir à tout expliquer.

Gazette de Rennes-le-Château : Votre pseudo « Arphaÿs » est-il en lien avec la fontaine de la forêt de Stenay ? Lire l’article sur la fontaine Arphays à Stenay !

Arphays : Tout à fait. Je me suis rendu à plusieurs reprises dans la région, pour les besoins de l’enquête. Mais ce n’est qu’en août 2016 que j’ai foulé ce lieu étrange dont il émane incontestablement une énergie particulière. À l’occasion, j’ai laissé le véhicule à l’orée du bois. J’ai parcouru plusieurs kilomètres avant d’atteindre la source à laquelle j’ai bu ! Franchement, c’est un lieu atypique que je vous invite à découvrir. Commander le livre de Patrick Ferté “Arsène Lupin, Supérieur Inconnu” !

Gazette de Rennes-le-Château : Quand et comment avez-vous découvert le mystère de Rennes-le-Château ?

Arphays : Dès 1993, j’intégrais une société initiatique, une parmi tant d’autres. Dans un mensuel, on faisait mention de l’ouvrage de Roger Facon « L’Or de Jérusalem ». Dès lors, je m’intéressais de plus près à cet endroit mythique par d’autres lectures, notamment les ouvrages de Pierre Jarnac, Jean Markale, Gérard de Sède puis , bien sûr, Patrick Ferté, Arnaud de l’Estoile. En 1999, le 11 août, alors que l’éclipse sévissait, j’étais dans l’église de Rennes-le-Château avec Athanhorus. C’est ce que relate notre roman Les Émeraldistes paru en deux tomes.

Gazette de Rennes-le-Château : Qu’est-ce qui vous a passionné d’emblée dans l’énigme du « Curé aux milliards » ?

Arphays : Pas tant les milliards. Pour qui a déposé les métaux, il s’agit de quelque chose de plutôt chimérique. Par contre, la personnalité du curé en elle-même, sa façon de faire, d’être, de s’opposer aussi quand cela a été nécessaire. Avouons, un curé royaliste qui retourne des tombes, il y a vraiment de quoi s’interroger sur une telle personnalité !

Gazette de Rennes-le-Château : Y a-t-il un lien ou plusieurs entre vos 2 premiers livres, voir ci-dessous, et celui consacré à Maurice Leblanc ?

Arphays : Si vous faites référence au roman Les Émeraldistes (le Cardo révélé T1 ; le Décumanus d’or T2), il y a en effet un lien, voire plusieurs. Ce roman, en grande partie autobiographique, rejoint d’une manière romancée ce que j’ai pu mettre en avant sur le plan traditionnel dans « Le code Arsène Lupin – Maurice Leblanc et le savoir perdu ». L’esprit pythagoricien plane incontestablement sur l’ensemble de ces ouvrages.

Maurice Leblanc initié

Gazette de Rennes-le-Château : Un de vos chapitres s’intitule « Maurice Leblanc initié ». A quoi est-il initié et par qui ?

Arphays : Je vous réponds d’emblée initié à la Tradition. Cette donnée pérenne qui traverse le Temps sans subir d’altération ! Vu la teneur codée de l’œuvre de Maurice Leblanc, il ne fait aucun doute que ce dernier a eu, entre autres, Papus et Piobb comme étant susceptibles de l’avoir éveillé aux disciplines traditionnelles. C’est le nombre de marches dans le roman « L’Aiguille creuse » qui m’a mis la puce à l’oreille. 357, pour qui connaît la portée symbolique de ce nombre, à quoi il se réfère… quelle probabilité y avait-il pour que Maurice Leblanc le choisisse ? Si ce n’est qu’il en connaissait la valeur ou bien qu’on la lui souffla !

Gazette de Rennes-le-Château : Le chapitre suivant parle d’un initiateur… Arsène Lupin ! A quoi le gentleman cambrioleur nous initie-t-il et pourquoi ce passage de l’écrivain au personnage ?

Arphays : Il serait bien surprenant qu’Arsène Lupin ne soit pas, en partie du moins, le reflet de son auteur. Aussi ce dernier ne pouvant s’exprimer directement, le fait-il par l’entremise de son héros. Ainsi Arsène Lupin, via son auteur, nous initie-t-il aux données traditionnelles véhiculées avec beaucoup de savoir-faire par Maurice Leblanc. Vous aurez donc accès à la cabale, la géographie sacrée, la métahistoire… tout ceci s’étalant au fil des romans, à condition de savoir lire entre les lignes ! Mais la lecture de mon ouvrage vous en dira beaucoup plus long, du moins je l’espère.

Gazette de Rennes-le-Château : Maurice Leblanc a donc utilisé la kabbale et la gématrie ! Pouvez-vous illustrer vos propos ?

Arphays : La Kabbale est la définition générale d’un corpus qui comprend plusieurs disciplines. Maurice Leblanc a principalement usité de la gématrie qui relève du calcul mystique mais en francisant celle-ci. On peut donc parler ici d’onomancie ou de Cabbale. Cette approche nous est donnée par Maurice Leblanc dans Les Confidences d’Arsène Lupin précisément dans l’un des chapitres « Les jeux du soleil ». L’auteur y dévoile une suite de nombres par lequel l’onomancie permet de trouver un mot, essentiellement ici un adverbe SURTOUT. À la suite de cet adverbe pouvant ne rien signifier (mais en réalité il signifie beaucoup si ce n’est tout) Arsène Lupin, sous la plume de Maurice Leblanc, dévoile une série de nombres qui révèle une phrase. Celle-ci comporte certaines erreurs volontaires qui, à leur tour, forme un mot : ETNA.

Or, ce mot est l’anagramme de ANTE qui, étrangement, se détache distinctement sur la dalle de la marquise de Blanchefort. Poursuivant mes recherches, je me suis rendu compte que pour ANTE, dans le dictionnaire, nous avons : « nom féminin singulier : pilier en bois ». Aux synonymes nous avons : « balustre, montant, pilier ». Or, il est aujourd’hui indéniable et indiscutable que Bérenger Saunière a bien trouvé quelque chose dans l’un des piliers du maître-autel ! Par ailleurs, du reste, il donne explicitement deux noms qui nous ramène à l’affaire de Rennes-le-Château : Bonnechose et Gélis.

Voilà, pour être succinct, car Le Code Arsène Lupin regorge d’exemples de ce type, ce que Maurice Leblanc nous a transmis subtilement tout le long de son œuvre.

Gazette de Rennes-le-Château : Entre 2020 et 2023, avez-vous collecté d’autres informations sur Arsène Lupin, Maurice Leblanc, les sociétés secrètes ou le bon Bérenger Saunière ? Votre compréhension des affaires s’est-elle modifiée, confirmée en 3 années ?

Arphays : Pour tout vous avouez, aussitôt la parution de la première édition auprès de Serge Goasguen (que je remercie encore au passage), je me suis rapidement attaché à un autre sujet. Je travaille actuellement sur la cité solaire de Paray-le-Monial, mais aussi sur l’un des éléments phare du 19e siècle qui s’y développa : le Hiéron du Val d’Or. Il est en théorie prévu que je vienne faire une conférence ou une table ronde l’année prochaine sur le sujet, selon l’organisation, à Rennes-le-Château. Mais étrangement, mais il me faut établir des liens probants, il semble qu’il y ait un lien entre la cité parodienne et le village de l’abbé Saunière. Nous entrons, là aussi, dans un vaste réseau de personnages que je dois pleinement définir.

Gazette de Rennes-le-Château : Le livre se termine par la postface de Gino Sandri. Est-ce vous qui l’avez sollicité ? Si oui, pourquoi ?

Arphays : Pour répondre, je dois relater la genèse du manuscrit qui, il faut l’avouer, a été adressé sans succès aux maisons d’éditions qui semblaient correspondre au sujet développé (Trédaniel, Dervy, Le Mercure Dauphinois et autres), mais rien. Une amie m’a donc conseillé de contacter les Éditions La Pierre Philosophale (que je ne connaissais pas). L’éditeur, emballé par le sujet, m’a contacté pour me demander si j’avais quelqu’un susceptible de rédiger une préface. Je n’avais personne à proposer. Au regard du thème développé dans le livre, Serge m’a dit qu’il s’en occupait, tout en sachant qu’il avait déjà Gino Sandri en vue. C’est ainsi que j’ai eu le privilège de voir mon ouvrage préfacé par cet homme discret et d’une très grande érudition, quoi qu’on en dise ou qu’on en pense.

Gazette de Rennes-le-Château : Très judicieusement, vous avez ajouté un index qui est trop souvent absent dans les études sur nos affaires… Parmi les occurrences, certaines reviennent souvent comme “Montfaucon” ou “Delrose” ! En quoi participent-t-elles au code Arsène Lupin ?

Arphays : Après concertation avec la nouvelle maison d’édition (que je tiens ici encore à remercier) nous avons en effet pensé judicieux d’ajouter un index.

Concernant votre question, il faut savoir que Maurice Leblanc avait une connaissance très accrue de l’Histoire de France. Certains de ses romans se situent en Lorraine, à priori, patrie chère à son cœur, ceci ne pouvant s’expliquer que par une accointance entre l’auteur et la Maison d’Anjou-Lorraine-Bar qu’il appréciait énormément.

Or, en Argonne aujourd’hui, mais jadis dans le duché de Bar, il y avait le monastère de Montfaucon fondé par Balderic (fils de Sigebert ou Sigisbert 1er) à la demande de Lupus 1er qui, de son côté, s’était rendu à l’abbaye cassianite (pélégianisme modéré) Saint-Victor de Marseille pour certainement en ramener l’enseignement. Nous parlerions aujourd’hui de formation.

Mais ce qui est intéressant, c’est que Balderic devait former un moine du nom de saint Wandrille, haut fonctionnaire de Dagobert 1er. Or Wandrille est l’une des abbayes clefs qui s’inscrit dans le roman codé « La Comtesse de Cagliostro » comme l’un des points qui forme la constellation de la Grande Ourse dans la région de Caux et qui ouvre sur une vaste chasse au trésor. Ce rapport aux étoiles me permet de glisser vers la seconde occurrence qu’est « Delroze ».

Ce héros qui se nomme Paul Delroze et en fait le « Pôle de la Rose », ce qui est une fois de plus un rapport à un ensemble plus large qu’est la Petite Ourse et la Grande Ourse, constituant certainement le creuset mystagogique auquel se raccroche Maurice Leblanc. Le héros, sur fond de guerre, entreprend un périple qui le fait partir de Toul pour rejoindre Arras par d’autres villes qui possèdent deux particularités. La première est que chacune d’elle, en son lieu de culte, est marquée du sceau du Pentagramme, visible ou invisible, ce qui donne un aspect initiatique au périple. D’autre part, et ce Maurice Leblanc ne devait ou ne pouvait l’ignorer, les lieux d’arrêt du héros sont des points telluriques ou hydro-telluriques, ce qui nous renvoie à une autre forme de Wouivre que celle littéraire, et qui se trouve celle-là placée sous l’égide de la fée Mélusine… mais là est une autre histoire !

Pour conclure, il est bon de noter que « le ciel est sur la terre » et que cette science émanant de la Tradition relève de la Géographie sacrée.

Gazette de Rennes-le-Château : Arphaÿs, nous vous remercions pour l’érudition de vos réponses et vous souhaitons un franc succès pour cette réédition !

Arphays : Merci à vous et excellente lecture à vos internautes !

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Le code Lupin au coeur du cryptage de Maurice Leblanc

Maurice Leblanc : 4e de couverture

Connaissez-vous ses multiples identités ? Savez-vous qui se cache vraiment derrière les nombreux personnages qui l’accompagnent ? Pourquoi Maurice Leblanc a-t-il choisi de le faire naître à Blois ? Qui se cache derrière Rodolphe Salis ? Quels mystères sont dissimulés dans chacune des aventures d’Arsène Lupin ? 

Toutes ces questions (et beaucoup d’autres) trouvent des réponses éclairantes dans cette passionnante enquête qui porte un regard d’initié sur Arsène Lupin, le plus célèbre des cambrioleurs. Arphaÿs, auteur ésotériste et cyclologue, vous propose une nouvelle lecture de Maurice Leblanc, passionnante et surprenante !

Astrologie, cosmogonie, géographie sacrée… Arsène Lupin fait d’innombrables clins d’oeil à l’ésotérisme, aux mystères et aux sciences occultes… éclairant !

Postface de Gino Sandri.

Mise à jour 10 septembre 2023, 13 avril 2020, Johan Netchacovitch ©

Une autre personne très connue de l’affaire, Bérenger Saunière, aurait décoré son église à la manière d’un franc maçon Rennes-le-Château. (NDLR)


Les Émeraldistes – Le Cardo Révélé Tome 1 RHONAN DE BAR et ATHANHORUS

Les émeraldistes sur la piste de Maurice Leblanc

Le roman

Du bon Maurice Leblanc ! Ce roman initiatique à caractère mystico-politique et historique conduit deux vieilles âmes à servir et à accomplir le destin de la France.  Pourquoi se sont-elles rencontrées ? Quels sont les desseins de Dieu ? Et si les racines enfouies du royaume mérovingien surgissaient de nouveau pour asseoir une monarchie ? Simple continuité ou venue du Grand Monarque tant attendu ?

À partir de Rennes-le-Château et de ses mystères, Jean et Rémy décident de se mettre en route comme deux pèlerins sur le chemin. Ils traversent le pays selon un axe vertical et vont de révélations en révélations. Leur quête initiatique se transforme rapidement en œuvre collective dépassant tout entendement. Alchimie et transcendance en sont les maîtres mots. Ces chevaliers des temps modernes seront-ils à la hauteur de leur mission ? Jusqu’où va l’acceptation ? Savante alliance du temporel et du spirituel, le temps a ses exigences. Le mystère plane…

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Les auteurs

Né en 1966, RHONAN DE BAR croise dix ans plus tard un érudit Franc-Maçon, la voie initiatique débute. Autodidacte, il rédige plusieurs articles pour la revue Atlantis, fondée en 1926 par Paul Le Cour. Il écrit un ouvrage édité en 2009, puis d’autres… Il se risque ici au roman initiatique. S’y mêlent à la fois fiction et réalité. L’essai s’inscrit comme autobiographique.

Né en 1965, ATHANHORUS grandit en Touraine. Bercé dès son plus jeune âge dans l’ésotérisme, il poursuit sa voie initiatique en explorant différentes pistes. Serviteur de l’Etat pendant 30 ans, il allie tant bien que mal les mondes temporel et spirituel. Premier écrit romancé mêlant à la fois découverte, éveil et ouverture spirituel. Il compte déjà deux romans à son actif : Pax Mundi et Spiritus Mundi à paraître en avril 2022 chez Jean-Marc Savary.

Les auteurs ont toujours été passionnés pour la narration et l’écriture. L’enquête précède toujours la rédaction de leurs ouvrages qui résultent souvent d’une histoire vécue ou de réalités historiques. Ce livre est la synthèse de leurs deux personnes.

De nombreux voyages dans l’Hexagone, des enquêtes sur le terrain et, enfin, la rédaction de ce premier tome qui se veut une plongée dans l’histoire secrète française. En même temps s’y greffe l’histoire mystérieuse et occulte de Rennes-le-Château. Ce roman présente des faits avérés et vérifiables et est destiné à un large public passionné d’aventure !

10 avril 2022, Johan Netchacovitch ©

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